Fondée en 2015, à Lyon, Mon Toit et Moi est positionnée sur le créneau de la surélévation. Une niche qui a de l’avenir. "La surélévation a connu son âge d’or durant la première moitié du XXe siècle. Le phénomène s’est ralenti après-guerre où il s’agissait de reconstruire les villes, puis presque stoppé avec la loi de 1965 fixant notamment les règles de vote en copropriété à l’unanimité pour concrétiser un projet de surélévation. Le procédé est redevenu d’actualité comme le moyen incontournable de pallier le manque de logements dans les grandes villes, grâce à la loi Alur, qui abaisse le seuil du vote à la majorité absolue", est convaincu Mickaël Teboul, pdg du promoteur, qui a réalisé cinq projets de surélévation en quatre ans et en annonce douze nouveaux prêts à démarrer.
Jusque-là, Mon Toit et Moi a concentré son activité sur Lyon, mais elle cible désormais aussi Paris et Nice. "Le coût d’une surélévation est deux à (...)
Mon Toit et Moi voit plus haut avec la surélévation
Outils
TAILLE DU TEXTE
- Font Size
- Default
- Mode de lecture