Les allocations logement réduisent fortement les inégalités pour se loger

Politiques du logement
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En France métropolitaine, les dépenses de logement représentent un taux d’effort brut, c’est-à-dire avant déduction des éventuelles allocations logement sur le revenu, de 46 % pour les bénéficiaires de revenus minima garantis (RSA, ASS, AAH et minimum vieillesse), quand elle est de 23 % pour l’ensemble des ménages. Or, observe la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) dans une étude, l’écart n’est plus que de 4 points (25 % contre 21 %) en net, c’est à dire lorsque l’on inclut les aides au logement. Une preuve, pour la Drees, que ces allocations réduisent fortement les inégalités d’effort financier pour se loger. En effet, les écarts de montants des dépenses de logement sont relativement faibles grâce à elles, "signe de leur caractère difficilement compressible", explique la Drees. Par exemple, la moitié de l’ensemble des ménages dépensent au moins 540 € par mois pour se loger, quand la (...)

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