Elle dit non à la contractualisation des dépenses de fonctionnement avec l’Etat. La commune de Tremblay-en-France (93) fait savoir, dans un communiqué de presse du 21 juin, qu’elle "refuse la tutelle" régalienne. Avec ces contrats, "la collectivité signataire n’a plus la liberté d’engager les dépenses qu’elle juge nécessaire à sa population et à l’intérêt général, quand bien même elle disposerait des recettes nécessaires", dénonce la municipalité emmenée par le maire communiste François Asensi. Outre les "mesures d’austérité" (- 17 M€ de DGF depuis 2014, - 50 % des bases fiscales depuis 2000…), la commune "fait face, seule, à une situation sociale difficile, notamment dans le quartier du Grand-Ensemble. Avec 83 % de logements sociaux et 40 % (...)
Contrat Etat-collectivités : Tremblay refuse, Aubervilliers signe
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