Le volume annuel de transactions de logements anciens évolue à un rythme légèrement moins soutenu à fin février (965 000 contre 969 000 à fin janvier 2018), selon les actes authentiques signés enregistrés par les notaires, laissant présager un atterrissage en douceur et des volumes plus raisonnables durant l’année, l’effet de rattrapage "étant sans doute atteint". La principale raison : la diminution du flux de nouveaux crédits au logement des ménages sur un an, malgré des taux d’intérêt encore faibles. Pour LPI/Seloger, dont les chiffres se rapprochent de ceux des professionnels, c’est la remise en cause des soutiens publics (PTZ et aides personnelles à l’accession) qui "pèse sur les capacités d’expression de la demande", alors que l’allongement de la durée des prêts (...)
Le marché des logements anciens redescend sur terre
Outils
TAILLE DU TEXTE
- Font Size
- Default
- Mode de lecture