"Pourquoi revitaliser ?", interrogeait, vendredi 6 juillet à Paris, l’Ecole des architectes et urbanistes de l’Etat (AUE), lors de la table-ronde annuelle co-organisée avec l’Association nationale des architectes des bâtiments de France (ANABF). Au cœur du débat : "la revitalisation des bourgs, des petites villes et des zones rurales, pas forcément des grands ensembles", pointe Ariella Masboungi, Grand Prix de l’urbanisme 2016, marraine de la table-ronde. Vanik Berberian, maire centriste de Gargilesse-Dampierre (36), président de l’Association des maires ruraux de France (AMRF), a été plutôt critique envers les ABF. Selon lui, ils "arrivent avec leurs certitudes et veulent imposer leur point de vue". Et l’édile de pointer du doigt qu’aujourd’hui, "on retrouve le même mobilier urbain sur tous les territoires sans prendre en compte les différentes (...)
La revitalisation des petites villes, ou comment faire de l'architecture de terroir
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