Dans un environnement de marché toujours très porteur et très attaché aux objectifs de la stratégie menée pour accroître l’attractivité du territoire qu’il pilote, l’Epadesa a validé, le 23 mars, ses comptes financiers 2016 (chiffre d’affaires commercial : 113 M€ ; résultat net : 18,7 M€ ; encaissements : 130 M€ ; travaux d’aménagement financés : 76 M€). L’établissement estime que "2016 fut une année à l’actualité particulièrement soutenue pour La Défense", caractérisée à la fois par "un nouveau record" en termes de volume de surfaces commercialisées (275 000 m2, en hausse de 93 % sur un an), ou encore "la baisse du taux de vacance et corrélativement une nette tendance à la hausse des loyers pour les immeubles de bureaux neufs et restructurés". "L’offre de l’Epadesa répond au dynamisme du marché, notamment avec la vente des tours Saint-Gobain et Alto, du premier lot de résidences étudiantes dans le secteur de la Rose de Cherbourg et du Carré Michelet, qui ont contribué aux bons résultats constatés", se félicite l’opérateur. À l’Ouest de la Grande Arche, la mise en service de la nouvelle gare de Nanterre-Université, au cœur d’espaces publics repensés, "modifie le quotidien des étudiants et des Nanterriens". La signature avec Vinci du protocole en vue de la réalisation de son siège social monde, dans le futur quartier des Groues, "donne le signal quant aux perspectives d’avenir".
"Ce contexte établit des fondements solides pour les évolutions institutionnelles à venir, avec la création du nouvel établissement public Paris-La Défense, réunissant les missions et compétences nécessaires à la poursuite du développement et de la promotion de ce territoire, aujourd’hui réparties entre le projet stratégique opérationnel de l’Epadesa et l’offre de services de Defacto", commente Jean-Claude Gaillot, DG de l’établissement depuis octobre dernier.